La maladie d’Alzheimer est loin d’être une maladie monolithique. C’est en substance, la découverte majeure de cette équipe européenne qui lui permet de catégoriser les malades en trois groupes qui se distinguent selon leurs facteurs de risque, les caractéristiques de leur maladie et leur devenir :
Cette catégorisation en trois groupes distincts est un grand pas pour la recherche puisqu’elle permettrait à terme, d’abandonner le protocole standardisé actuel au profit d’une personnalisation des stratégies préventives et thérapeutiques.
Enfin, l’identification précoce des personnes à risque nécessitait jusqu’à présent des procédures invasives telles que la ponction lombaire. Aujourd’hui, la récente mise au point d’instruments capable de détecter la présence des « agents coupables » dans le sang pourrait permettre d’intégrer ce dépistage dans des check-up de routine.
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Ces travaux ont été réalisés grâce au soutien de plusieurs organismes dont l’Association Suisse pour la Recherche sur l’Alzheimer (APRA)